Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (30) : Olga Et Hassan.

Dans le récit précédent, j’ai expliqué que, peu après mon accouchement et dès que j’étais de nouveau en état d’avoir des rapports sexuels, Rachid, qui avait « disparu » de notre vie au cours des dernières semaines de ma grossesse, était réapparu et avait rétabli pleinement ses « droits » dans notre trio. A l’issue d’une séance de baise torride, il avait clairement réaffirmé sa domination sur moi et son rôle : celui du mâle, dispensateur de nos plaisirs, pour l’hypersexuelle que je suis et satisfaire les fantasmes candaulistes de Philippe. Il laissait à celui-ci le rôle de père et de mari, et aussi de celui qui me comblait d’amour et de tendresse.
Contrairement à la première phase de notre trio, Rachid n’occupait plus le lit conjugal. Il ne vivait plus avec nous, se contentant de venir chaque soir pour accomplir ce qu’il appelait ironiquement son «devoir conjugal» et me laissait ensuite, repue de plaisir, dans les bras de Philippe.
J’étais traitée comme une putain, que son mâle venait honorer chaque jour. La particularité était que cela se faisait avec l’assentiment et en présence de mon mari, qui assumait ainsi son candaulisme et partageait pleinement mon plaisir.
En dehors de cela, Rachid ne témoignait envers moi que de la brutalité et du mépris. Il n’exprimait aucun sentiment, pour lui je n’étais qu’un corps et encore plus, un cul, qui lui appartenait et dont il disposait selon son bon vouloir. Cela se sentait dans la manière dont il s’adressait à moi, me traitant de pute, de salope, de chienne, de truie, de sale bourge. Sans compter le mépris qu’il affichait pour Philippe, qu’il traitait de cocu et de pédé. Quand l’envie lui prenait, il enculait mon chéri avec une brutalité inouïe.
Philippe avait bien tenté de me convaincre de chasser ce voyou de notre vie, mais je lui avais dit que je ne le voulais pas, que l’équilibre que nous avions trouvé entre l’amour (avec Philippe) et le sexe (avec Rachid) me satisfaisait.

Plus que tout, Philippe craignait l’influence sur Rachid de la belle et cruelle Marie C., qui me haïssait et s’était jurée de me séparer de mon mari qu’elle voulait pour elle-même. Or les séances SM dont elle était l’organisatrice étaient toujours plus hard et j’en revenais marquée, notamment par les marques des chaînes, des pinces et des coups de fouet. Pourtant Philippe n’était pas parvenu à me convaincre et à imposer sa volonté.
C’est un autre homme qui y est parvenu : Hassan. Hassan fût, après Rachid, mon second mâle. Il a été davantage que cela. Ma liaison avec lui a très vite dépassé le cadre du candaulisme pour passer à celui d’une liaison adultère où le candaulisme clandestin de Philippe devint de plus en plus difficile à faire cohabiter avec un autre homme qui aspirait à être le seul homme de ma vie, à la fois dispensateur de plaisir et d’amour. Bref, il voulait non seulement chasser Rachid, mais aussi Philippe et changer complétement mon mode de vie. Il est à l’origine de la seule séparation durable entre moi et Philippe, avant que mon hypersexualité et mes sentiments pour l’homme de ma vie ne me poussent à revenir vers Philippe et à rétablir notre couple.
Comme chaque mardi après-midi, je me rendais à la cité dont Rachid était originaire et où il avait pris l’habitude (voir récit n°20) de m’offrir aux jeunes de la cité. Les premières fois, cela s’était déroulé dans une cave de la cité, sur un matelas. Puis, très rapidement, Kamel, un ami très proche de Rachid, avait mis à disposition l’appartement où il habitait. Il était certain de ne pas être dérangé le mardi après-midi, c’est pour cela que ce créneau avait été choisi.
Rachid veillait à ce que mon arrivée à la cité ne passe pas inaperçue. Il exigeait que je sois outrageusement maquillée, que je porte une jupe serrée et courte, un chemisier ou un tee-shirt échancré, qui laissait bien voir mes seins, sans que jamais je n’ai de soutien-gorge. Il m’obligeait aussi à mettre des talons-aiguille qui rendaient ma marche difficile, mais qui mettaient en valeur mes fesses, rendant fous de désir ces jeunes mâles.
Au début, Rachid m’accompagnait, puis il a fini par déléguer le suivi de cette journée à Kamel, en qui il avait toute confiance. De toute façon, je n’étais nullement e à me rendre dans cette cité, j’y allais parce que Rachid me l’avait demandé, parce que je savais que j’allais prendre mon pied et que j’étais fière de contribuer à l’éducation sexuelle de ces jeunes mâles.
Je prévenais Kamel quand j’arrivais car les quelques mètres qui me séparaient de ma voiture de l’entrée de l’immeuble avaient failli mal tourner quelquefois. J’étais entourée de nombreux jeunes, certains très mécontents de devoir patienter sur la « liste d’attente ». Une fois j’ai cru que j’allais me faire violer dans la rue, certains me prenant dans leurs bras pour me rouler des pelles, me faire sentir leur érection, ouvrir mon chemisier pour me ploter les seins, me mettre la main aux fesses et, de leurs doigts, explorer ma chatte déjà humide et ouverte. J’ai cru qu’ils voulaient me conduire dans une cave ou dans un recoin pour me baiser sans autre forme de procès. Ce jour-là, je suis arrivée pratiquement nue chez Kamel. C’est pourquoi, dès la fois suivante, Kamel et des amis à lui attendaient ma voiture pour m’escorter jusque chez lui. Rachid tenait à conserver la maîtrise de la situation, que tous sachent que j’étais disponible, mais que c’était lui et lui seul qui décidait de l’ordre de passage.
Même accompagnée, j’étais couverte d’injures. J’entendais souvent le mot de Kahba, je savais que c’était le mot pour qualifier les putains en Arabe. Cela exprimait tout le mépris que ces jeunes avaient pour moi. Je passe sur les autres qualificatifs, qui étaient aussi employés par Rachid lors de nos rapports, le moindre étant celui de « salope », que j’assumais volontiers. Ce qu’ils conspuaient aussi c’était la bourge des beaux quartiers de la ville, l’épouse d’un notable et ils le savaient. On avait trouvé sur le centre social du quartier des graffitis qui disaient, en interpellant Philippe « T.
, on baise ta meuf »
La montée des escaliers jusqu’au 4ème étage, où se situait l’appartement où vivait Kamel était un autre moment difficile. De nombreux jeunes en profitaient pour mater, d’autant plus que Kamel, par vice, me faisait retirer le mini-string que j’avais été autorisé à mettre. Les mères de famille, qui ne pouvaient empêcher leurs fils de participer à tout cela, m’agonisaient d’injures. Il m’est arrivé de me faire cracher dessus.
La police s’était inquiétée de tout cela et avait mené une enquête pour savoir s’il s’agissait de prostitution. Je fus menacée d’être poursuivie pour racolage, mais il n’y eut aucune suite, l’enquête ayant confirmé que tout cela était non tarifé.
Selon les semaines, les amateurs étaient plus ou moins nombreux. L’appartement étant petit, ils étaient maximum trois en même temps, les autres attendant avec impatience leur tour. Quelquefois ça se terminait tard le soir.
Les étreintes étaient souvent rapides et brutales et mes jeunes amants maladroits, malgré mes efforts pour les guider et les mettre en confiance. Certains étaient doués ou accomplissaient de grands progrès. Quant à Kamel, sa proximité avec Rachid lui permettait de profiter de mon corps à chaque fois. Il avait même droit, lorsque je n’étais pas dans une période « dangereuse » ou que je prenais la pilule, de se vider en moi, tous les autres étant strictement soumis au préservatif.
J’avais aussi remarqué que Kamel prenait soin de filmer mes ébats et je savais que cela circulait dans la cité.
Comme je l’ai indiqué, quelques jours après que Rachid ne soit venu affirmer la « plénitude de ses droits » sur moi, je suis retournée à la cité chaque mardi. J’avais été accueillie avec enthousiasme, car je ne m’y étais plus rendue depuis mon 3ème mois de grossesse. Je n’avais pas changé, sauf sans doute mes seins devenus plus lourds du fait de l’allaitement. J’avais retrouvé la finesse de ma taille et mon ventre n’était pas marqué par la maternité.
Quant à ma libido, mon hypersexualité était aussi exacerbée qu’avant.
Tout semblait donc comme être revenu à la normale quand tout a basculé. Cette après-midi-là, Kamel, en accord avec Rachid, avait décidé qu’il me réservait pour lui et pour son cousin Abdel. Kamel était un très bon amant et je m’attendais à passer une après-midi torride avec ces deux mâles. Nous étions ensemble depuis une vingtaine de minutes, je suçais à tour de rôle Kamel et Abdel et je savais que Kamel allait bientôt me commander de me mettre à 4 pattes pour me posséder en levrette. J’anticipe son désir et prend position, faisant par ailleurs signe à Abdel d’approcher pour que je puisse lui tailler une pipe, pendant que son cousin allait me posséder.
C’est alors que la porte de la chambre s’ouvrit brutalement et apparut un homme d’une quarantaine d’années. C’était Hassan. Il était très en colère :
• Ainsi, ce qu’on m’avait dit était vrai ! Kamel comment oses-tu ? Tu n’as aucun respect pour la mémoire de nos parents. Je te faisais confiance et tu m’as trahi en souillant cet appartement avec tes débauches !
• Hassan, laisse-moi t’expliquer. C’est une bourge, elle vient ici volontairement pour se faire passer dessus. C’est l’épouse de T., un notable de notre ville, mais elle est la femelle de Rachid, qui la met à disposition des potes.
• Il n’y a rien à expliquer. Je t’ai déjà dit que je ne voulais pas que tu fréquentes Rachid. C’est une petite frappe. Cette femme est folle de son corps et vous profitez de son addiction. Honte à vous !
J’observais l’homme. Son langage tranchait avec celui des jeunes de cette cité. Il employait des mots soigneusement choisis. Au lieu de me blâmer moi, de m’injurier, il s’en prenait à ceux qui exploitaient mon hypersexualité.
Ce qui m’a immédiatement attiré chez Hassan, c’est l’impression de puissance, de virilité qu’il dégageait. Il savait, je l’avais immédiatement remarqué, mettre en valeur sa silhouette et sa puissance, un torse en V, des bras musclés, mettre en valeur son physique. De grande taille, il était un bel homme et il le savait. Un visage fin, des cheveux noirs, des yeux noirs, une fine moustache autour d’une bouche sensuelle. J’ai eu immédiatement un coup de foudre.
• Maintenant ça suffit ! Kamel et Abdel, vous vous habillez et vous dégagez !
• Mais Hassan, protestait Kamel en s’habillant à la hâte, craignant la colère de son aîné.
• Ne discute pas, Kamel, tu vois bien qu’il est fou de rage. Nous sommes chez lui, n’oublie pas. Viens chez moi en attendant qu’il se calme.
• Tu enverras chercher tes affaires, je ne veux plus te voir, tu entends. Dehors !
J’étais impressionnée par cette force et cet esprit de décision. Hassan était un homme fort et décidé. Jamais Philippe, malgré l’immense amour qu’il a pour moi, n’aurait osé agir ainsi.
Pendant ces quelques instants de tension, Hassan n’avait pas détaché ses yeux de moi.
• Je sais qui tu es, j’ai entendu parler de ton histoire. Toi aussi tu t’habilles et tu rentres chez toi.
• Rachid va être fou de rage quand il saura ce qui s’est passé. J’ai peur de sa réaction.
• Ton mari ne te protège pas ?
• Philippe est un trésor, mais Rachid le domine également.
• Je vois, je te raccompagnerai et je dirai son fait à ce petit voyou de Rachid. Une lope à mes yeux.
Je me suis levée, toujours nue, et me suis dirigée vers Hassan.
Hassan dégageait tant de virilité, d’humeur purement mâle, que mon instinct s’est réveillé à la simple vue de son visage. C’était comme si toutes mes hormones entraient en ébullition… Et je me suis mise à fantasmer sur cette énergie sexuelle qui dégageait de lui et créait en moi de folles et irrésistibles envies. Je me suis mise à imaginer des ébats passionnés, fougueux.
Je ne peux m’empêcher de porter mon regard sur son pantalon, sa braguette est enflée, comme si elle était prête à exploser… Et ma langue vient inconsciemment caresser mes lèvres.
• Femme, que fais-tu ? Que veux-tu ? Arrête, il ne faut pas !
Hassan posa la main sur mon épaule nue, pour tenter d’arrêter ma marche vers lui.
Sa voix grave, sa main sur mon épaule… Et mon bas-ventre tressaillit déjà… Un sourire charmeur, une virilité indéniable, et mon intimité commençait déjà à s’humidifier… Je le voulais déjà, je voulais déjà goûter à sa peau, à son intimité, sentir son odeur… Il fallait qu’il m’apaise, qu’il apaise cette demande brulante émanant de mon ventre… Je le voulais…
Il l’a immédiatement compris, a su voir et ressentir mon désir. Son regard a montré une étincelle, j’ai senti l’extrémité de mes seins tendre impunément vers lui, mon intimité continuait à s’humidifier, comme pour répondre à son regard… Les mots étaient presque superficiels, nos corps, nos attitudes et nos regards communiquaient presque d’eux-mêmes…
• Mektoub. Tu dois savoir, femme, que si tu persistes à vouloir t’offrir, tu seras à moi, pas comme maîtresse, mais comme épouse. Tu seras à moi, seulement à moi. Je chasserai Rachid, qui t’a fait tant de mal, mais aussi celui qui n’a pas su te protéger.
• Je suis à toi, Hassan. Viens !
Hassan voulait un abandon total et aveugle. Il voulait que je lui donne tout, me livre corps et âme, sans retenue.
Hassan se colla à moi, pectoraux gonflés, muscles saillants. Il m’enlaça fougueusement, j’étais suspendue à son cou, lui griffant la nuque, vibrant de désir.
J’avais tressailli comme si on m’avait piqué à vif. Il y avait en lui tant de force, de vigueur, que cela me laissait toute faible. Comme un oiseau effrayé qui se laisse prendre dans les griffes d’un matou affamé, et qui ne peut échapper à son emprise. Brusquement, je me sentais si fragile, si désorientée, avec l’envie inavouable de me laisser guider, posséder. Je ne pensais plus à rien, ni à Philippe, ni à Rachid.
Mais là, je savais que je deviendrai la chose de cet homme. Je poussais un grognement éperdu lorsqu’il m’embrassa avec une frénésie animale. Nos langues se trouvèrent hâtivement, voraces, affamées.
Le baiser redoublait d'intensité. Je déboutonnais la chemise, écrasant mes seins contre le torse lisse et bronzé d’Hassan.
Hassan m’écartait les cuisses: du fait de ma récente maternité, mon ventre était bombé, mes hanches larges, le buisson du pubis soigneusement épilé aux limites du maillot, la brèche rose noyée au milieu de la toison brune, gluante de cyprine. J’avais les yeux clos, les joues brûlantes. J’avais envie d’être prise par ce mâle qui me rendait folle de plaisir.
Hassan a quitté son jean, il était nu devant moi. Il m’a écarté davantage les cuisses, je l’ai entendu murmurer:
• Tu es si belle...
Il me serra davantage, je frottais mon bassin et ma poitrine contre lui, remontant un genou entre ses cuisses. Avec une force incroyable, Hassan me porta dans ses bras comme s’il s’agissait d’une plume. Je me sentais emportée par un tourbillon si tumultueux que je me laissais grisée, enlaçant la nuque noueuse, me blottissant dans ses bras comme une petite fille perdue. Je me sentais si fragile, si docile… Sans cesser de me porter, nos bouches s’unissaient dans un long baiser qui était celui d’un mari et d’une épouse, pas celui d’amants. Nous étions unis dans la même ardeur.
Je voulus poser une question mais des lèvres gourmandes m’en empêchèrent. Bientôt, je n’eus n’eut plus du tout envie de parler. Me posant sur un fauteuil, Hassan m’enlaçait avec une fougue croissante, me communicant son envie. Il s’excitait à l’odeur de ma peau, se coulait sur moi, comme s’il voulait que nos chairs se confondent, qu’elles ne fassent qu’une. En descendant, il m’écartait les jambes avec ses genoux tandis que collais mon pubis contre sa cuisse d’un souple mouvement du bassin.
Il glissa le long de mon corps, suçant mes seins avec un appétit goulu, et l’une de ses mains caressait la courbe des hanches, se faufilait entre la douceur satinée des cuisses. Sadique, il immobilisa un instant sa main avant de reprendre la caresse là où il l’avait laissé. Ses doigts parcouraient toute la longueur de la fente intime, avant de s’attarder sur le clitoris qu’il percevait très sensible à ses attouchements. Les jambes écartées au maximum, le corps agité de mouvements encore plus spasmodiques, je ne faisais que pousser des gémissements extasiés.
Un sourire complice, et une vague de chaleur m’envahit. La main d’Hassan glissa sur mes fesses, puis au cœur de mon humidité. Il passe alors ses doigts sur mon clito prêt à exploser de désir. Je lâche un profond râle d’extase, mais j’en veux plus. Il le comprend de suite, et cherche de ses doigts à pénétrer mon intimité. Mon sexe est trempé, Hassan enfonce alors plusieurs doigts au plus profond de moi. Que c’est bon… Que c’est bon de sentir sa main s’agiter au rythme de mes soupirs, et ses doigts toujours plus curieux… Il embrasse mon cou en même temps, tout en me demandant si ça me plaît, puis prend mes lèvres, dans un long baiser.
J’ai envie de crier ma jouissance, j’ai envie de lui hurler de ne pas s’arrêter. Ses mouvements s’intensifient au cœur de ma chatte… Je suis plus que trempée, des spasmes parcourent la totalité de mon corps. C’est si bon.
Hassan me jette un regard complice en portant ses doigts à la bouche.
J’ai senti à nouveau ses lèvres sur mon nombril, puis sur mon abdomen...La bouche d’Hassan est descendue encore, la langue est entrée en action, me faisant gémir puis crier. Longuement il a enfoncé sa langue loin dans mon vagin ruisselant tout en me relevant les cuisses pour mieux m'ouvrir. Je criais de plaisir comme une folle, crispant mes doigts dans la chevelure de l'homme. Quand il s'est redressé pour s'allonger sur elle, sa bouche venant contre ma bouche, il m’a demandé doucement, avec respect :
• Tu veux?
• Oui, mais avant Hassan, j’ai tellement envie de te lécher, te sucer et te goûter, je te veux sur ma langue, au fond de ma bouche.
Hassan m’a rendue folle de désir et je veux lui rendre la pareille. Son sexe est si appétissant, Mais je veux le déguster… Je le lèche innocemment, de long en large. Mon regard ne le quitte pas, et il me montre qu’il aime ça.
Mes lèvres recouvrent d’abord timidement son gland, puis le suivent jusqu’à sa base. Ma bouche fait des va-et-vient tout le long de son sexe, et ma langue joue avec chaque parcelle de sa si belle queue… Tantôt je l’enrobe de ma langue, tantôt je la lèche simplement en le regardant avec désir, tantôt je l’aspire, ou la suce… Je veux sa queue, je la veux dans chacun de mes recoins… A quatre pattes devant moi, il pose enfin ses doigts entre mon entrée interdite et ma source de plaisir. Il agite ses doigts entre mon minou et mon clito, mettant parfois de petites tapes sur ce dernier, enfonçant parfois plusieurs doigts au plus profond de moi… Je remue mon bassin au rythme de sa main, afin de mieux ressentir les effets de sa curiosité charnelle…
Comme c’est bon de l’avoir en bouche en même temps… et comme s’il avait devancé mes désirs, Hassan att mes cheveux afin de me signifier la soumission qui m’excite tant… Je lèche, suce et aspire, ses doigts continuent d’aller et venir au fond de moi…
Hassan m’impose une pose. Il veut prendre son temps. Il veut me faire l’amour, pas seulement copuler.
• Olga, tourne-toi face à moi
Je lui faisais face, les mains dans le dos, les yeux baissés. Il m’a détaillée un long moment, alors que moi je n’avais qu’une envie : qu’il continue à me baiser.
Il m’a dit qu'il aimait mes seins, leurs aréoles larges et foncées. Je lui ai dit que j’allaitais ma fille. Il m’a complimentée pour la finesse de ma taille, le galbe de mes hanches, ajoutant
• J'aime bien ton petit ventre
• Je n’ai pas encore repris complètement ma taille d’avant ma grossesse
• Ça te va très bien...rassure toi. De toute façon, j’ai bien l’intention de t’en faire d’autre et rapidement. Tu seras ma femme et la mère de mes s.
• Je suis à nouveau dans une période favorable, Hassan
• Je vais te féconder, Olga. Nous vivrons ensemble, je t’épouserai quand tu auras divorcé de Philippe.
Au plus profond de moi, je n’ai jamais cessé d’aimer Philippe. Mais à cet instant, je suis entièrement à Hassan. Je suis amoureuse comme je ne l’ai jamais été.
Il me fit aussi remarquer mes cuisses très galbées ainsi que mes mollets, j’expliquais que je suis très sportive et que j’ai toujours pris soin de mon corps.
• Tourne-toi !
J’ai pivoté à nouveau, lui présentant mon derrière cambré. Il matait mes fesses fermes et le profond sillon séparant les deux hémisphères à la peau laiteuse. La blancheur de mon postérieur contraste avec la peau bronzée de mon dos et de mes jambes. Je sais que cela rend les mâles fous de désir.
Il fait à nouveau me tourner vers lui
• Regarde l'effet que tu me fais, Olga. Tu es à moi, tu es ma femme désormais.
Sa verge est circoncise et terriblement épaisse. Il s'approche de moi, le gland effleure mon abdomen. Hassan m’att par le bassin, et me fait m’installer à quatre pattes, ma croupe et ma chatte offertes à ton bon vouloir… De sa main libre, il me saisit par les cheveux.
• Je vais te posséder, Olga. Désormais tu es à moi et rien qu’à toi. Tu la veux, femme ?
• Oui, mon homme, dis-je dans un soupir…
J’ai senti contre l'ouverture de mon ventre le gland chercher son passage puis s'enfoncer en moi, me faisant feuler de plaisir. Je me souviens du choc ressenti au moment où le gland a percuté mon utérus puis de la sensation de vide au moment où il se retirait, de mes doigts griffant les reins de l'homme, quand la massue s'engloutissait à nouveau au plus profond de mon ventre...Je sens sa queue s’enfoncer au plus profond de moi, ses coups de reins si rudes font exploser mon plaisir. Je lui crie que j’aime ça, et sa queue et ses reins s’en montrent encore plus vigoureux… Que c’est bon, quel bonheur… De son autre main il pétrit mes seins, et je caresse mon clito au rythme de ses coups…
• Tu aimes ça, chérie ?
• ouuuuuuuuiiiiiiiiiiii, encore
Il accélère encore le mouvement. Je sens son plaisir monter au rythme du mien, et je lui demande de jouir en moi. Je me rends compte qu’il m’a peut-être fécondé, quelques semaines après la naissance de ma première fille.
Je suis insatiable et je lui fais comprendre que je veux à nouveau être prise.
Je relève les cuisses pour mieux ressentir sa présence au fond de mon ventre. Il me la possède sans faiblir durant un quart d'heure et je connais un orgasme inouï, dévastateur. Pendant quelques instants, je me sens partir tellement le plaisir a été fort.
Nous avons fait l’amour toute la nuit. Il s'allonge sur le dos et je viens le chevaucher. Je me vois dans la glace, caracolant sur lui, mes seins encore lourds tressautent.
• Tu es belle, Olga. J’aime la chaleur de ton ventre.
Je me dégage, laissant s'échapper une coulée de cyprine. Je me penche sur lui, descend, parcourant le torse puis l'abdomen plat de petits baisers humides. Je prends la verge de mon homme en bouche, goûtant la saveur de mes propres sécrétions, caressant les bourses.
Hassan me fait changer de position, je me tourne sans que ma bouche abandonne la verge, je me place à l'envers, mes mollets de chaque côté du buste d’Hassan. Celui-ci enfouit sa bouche tandis que je redouble ma fellation, suçant alternativement la verge et les bourses gonflées.
La bouche de mon homme reprend aussitôt son affolante caresse dans l'œillet maintenant tout aussi détrempé que son vagin. Il s'arrache à la bouche qui le dévore et se replace derrière moi, les genoux solidement campés sur le lit, il me fait comprendre d'une tape sur la fesse la posture qu'il attend de moi.
• Oui, mon chéri. Prends-moi en levrette !
Je me prosterne, le visage écrasé sur le couvre-lit. Hassan approche le gland de l'entrejambes et, me saisissant aux hanches, il s'engouffre d'un trait dans le vagin liquéfié. Pourtant habituée aux gros calibres, je pousse un cri de bête blessée quand le gland percute le fond de mon ventre. Il se retire aussitôt pour replonger encore. A nouveau, je crie.
• Vas-y, défonces-moi !
Un long moment il se déchaîne dans mon ventre, m'amenant à un orgasme dévastateur qui me fait m'écraser à plat ventre sur le lit, presque inconsciente, pendant qu’il inonde mon vagin. Il se retire doucement d'elle, toujours aussi roide et s'allonge sur le corps inerte. Il parcourt de petits baisers le haut de mon dos, la nuque à la racine des cheveux, il me mordille.
Cette rencontre allait changer beaucoup de choses et remettre en cause mon couple avec Philippe, provisoirement, mais ça je l’ignorais alors. Pour la première fois depuis que j’avais rencontré Philippe et que nous menions ensemble ces jeux candaulistes, sous la coupe de Rachid sur le plan physique, mais (sauf au début) pas sentimental, cette fois, j’étais tombée follement amoureuse d’un autre homme.


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